Allez sais
Allez sais...
Pointé sous l’oeil, orgueil en suspens Fidelio amène, une pointe de stupre
Que l'coeur se dévide à contresens... Dans l'eau du bain tourné en lucre.
Qu'agiles mes doigts, oscillent et slashent!
Qu'enfilent les veuves le courant à l'envers.
Que l'amour se latte sous la bâche !
Que d'eau de peu de poisons, l'avril est Fête...
Ordre acide, involtable ! Horde placide de démûés...
Nickéline à l'avant bras, sauvageonne à l'index
Souvenirs orbitaux d'apnée non linéaire, en cadeaux convertibles en monnaie.
Hallucinogène expiatoire, pensée d’ébène
Singe hurleur monté en grade ... Passé lieutenant, la corde au cou !
Les jambes qui se démènent, l’aérolite.
Beffroi de peu d’hier, raconte demain, la myrrhe en tête
Juste un qui reste, et loin:
Méca-soldier, et là les 2c ont un sens
Celui de l'âge vaste, et du néon tendre.
L'espace d'un apocryphe, je veux le pendre pour le repeindre...
Mais thermidor assèche mes mains, coccinelle new age
Profiterolés, sperme à peau de glacier. et tes si douces aspérités mondaines
Ce souffle qui congédie dans l'iris ....Le règne de mon deuil.
Pointé sous l’oeil, orgueil en suspens Fidelio amène, une pointe de stupre
Que l'coeur se dévide à contresens... Dans l'eau du bain tourné en lucre.
Qu'agiles mes doigts, oscillent et slashent!
Qu'enfilent les veuves le courant à l'envers.
Que l'amour se latte sous la bâche !
Que d'eau de peu de poisons, l'avril est Fête...
Ordre acide, involtable ! Horde placide de démûés...
Nickéline à l'avant bras, sauvageonne à l'index
Souvenirs orbitaux d'apnée non linéaire, en cadeaux convertibles en monnaie.
Hallucinogène expiatoire, pensée d’ébène
Singe hurleur monté en grade ... Passé lieutenant, la corde au cou !
Les jambes qui se démènent, l’aérolite.
Beffroi de peu d’hier, raconte demain, la myrrhe en tête
Juste un qui reste, et loin:
Méca-soldier, et là les 2c ont un sens
Celui de l'âge vaste, et du néon tendre.
L'espace d'un apocryphe, je veux le pendre pour le repeindre...
Mais thermidor assèche mes mains, coccinelle new age
Profiterolés, sperme à peau de glacier. et tes si douces aspérités mondaines
Ce souffle qui congédie dans l'iris ....Le règne de mon deuil.