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écrituerie

22 septembre 2007

sexual Oblivion

Sexual oblivion

            Un lâché de nerfs, une volée de bois bandé

              Du bondage simili blanche neige

                 En pleine overdose d’apple pie

      Un conte de chatte perchée au bout de jambes bottées

Une aine à sucrer

         Le creux de la cuisse entre les crocs

Le loup dévorant, la chair du levant

             L’avide loi du feu entre les dents

    Une langue rougie

        Et c’est elle qui déchire le voile de pudeur qu’il te reste

Moins chaste, la faille se répand

               En râles aquatiques

Et tu réclames par dessus tout le diable qui m’habite

        Par dessous les chaînes en dessous l’orbite

Tu te veux planète en mal d’étoiles ?

                  Un mâle pas net

Un bucéphale ardent,

          Un étalon à nœuds coulant.

                             Un servant finalement.

       Viens qu’on se concave et qu’on se convexe,

             Montre moi tes côtés ambidextre ;

Partageons des bouts de nous quelquefois, pourquoi pas ?

          Tends moi la lèvre que j’m’éxécute

               Couds moi l’haleine en rut

                 Dépossède moi du vide

                  L’enfance de l’art

                    Les voix du futile

               Le cosmos en bouteilles.

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16 septembre 2007

ma vie d'homme du monde

lion_a_poil

14 septembre 2007

molestage d'insert

Molestage d'insert

Soulage moi d'une once de vide

Par cette funeste épée d'atout

Décore mon oeil en runes et rides

Que mes murmures inondent ta toux

A l'ouïe ,une clé agile et tendre

Plus rien d'une porte n'est l'illusion

J'oblitère mes délétères envies

D'orage serein sans psalmodies

Mes songes à bout de bras portés

Méfie toi bien d'où ils sont nés

Agite le bocal de collapse certains

Fouille sous son poids pour rassembler

Gémis ,disert alors qu'il tend

A ne te soutiré rien d'autre qu'un sourire

Le vague est sure ,mais impalpable;

L'envie est claire mais dissolue !

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22 juin 2007

les espagnols facétieux

Souvent on oublie , avec une pointe de mauvaise foi , il est vrai , que les espagnols sont des gens facétieux... Mais le tout n'est pas de le dire , le tout est de le prouver ...Prenons par exemple Hernan Cortes.

Si aujourd'hui il débarquait à Cancoon en prétendant casser la tête à tout le monde pour le bien de la couronne d'espagne...  et bien tout le monde là-bas lui retorquerait , que Phillipe n'avait qu'à pas épouser une pin up de la télé , si il voulait préserver l'honneur de la couronne d'espagne!! Et alors Cortes aurait été bien attrapé , et il aurait été bien obligé de laisser Moctezuma écorger comme d'autre vont aux cabinets .Mais l'important n'est pas là , non le problème est bien que si Cortès avait été au mexique maintenant , il aurait été obligé(machiavélisme oblige) de porter un sombrero  pour se fondre dans la masse indigène , et là avec sa fraise , il aurait eu l'air d'une tortilla au cheddar du meilleur aloi , mets de choix pour ,et dont les mouches bleues géantes (maximus gigantus mucchus bleueus) du haut plateau du bas Chiapas, sont si friandes .Et comment se serait levé le soleil à l'ouest dans une telle conjoncture ? beaucoup de réponses qui attendront demain j'en ai peur , car la réalité organique n'attends pas , surtout lorsqu'elle concerne l'intestin grêle , à ne pas confondre avec l'intestin flocon de neige d'avril , qui lui sait attendre , tel la douce colombe ,un moustique à sa portée !!! 

8 mai 2007

Les aventures de JackTurner (début chap 1)

      

Les aventures de Jack Turner

L’homme arriva à la gare à 19 h 30. Il semblait préoccupé par la densité de population qu’il trouva à cette heure avancée de l’après midi… Mais n’écoutant que son courage il se dirigea vers la taverne la plus proche, s’élança vers le comptoir en lançant à la cantonade une assertion des plus concise :

«  Un café, s’il vous plait ! » 

   

     Le silence se fit alors dans les lieux, et l’homme sentit une goutte de sueur perlée sur son front,celle-ci  insatiable à l’extrême finit ensuite sa course dans les méandres de sa pilosité pectorale ; une sensation qui en temps normal l’aurait ravi au plus au point, mais il eût fallu pour cela qu’il se soit retrouvé dans la chaleur exotique d’une plage caraibéenne, et non à la gare de Messy les Fougerolles, là, où il se trouvait au moment où la goutte de fluides sébacés ,s’était échappée de son épiderme …                          

 

«  Mais bien sur, monsieur, tout de suite. »

   

    Cette phrase du barman lui permit de reprendre son souffle et le léger mouvement de tournage de dos que celui-ci effectua permit à l’homme d’essuyer prestement l’espace comptoir d’on il disposait, pour installer son coude et la tasse de café à venir …Il tourna alors sa tête de 45 ° et découvrit à sa droite un homme au physique avenant et courtois avec qui il pensait pouvoir établir un contact dans cette ville, qui pour l ‘instant, semblait assez hostile à son égard. Les mots qui lui vinrent, furent les suivant :

 

« Hé, ben dites donc, il fait pas très beau aujourd’hui ! »

 

  En guise de réponse, L’homme aquiesca d’un mouvement de tête des plus désinvolte puis s’en retourna à la contemplation de son verre de bourgogne, bien qu’il sembla à notre héros qu’il s’agissait plutôt d’un bordeaux …Dépité par tant de mépris, voire de goujaterie il remit son visage en face du comptoir pour découvrir qu’un café fumant emplissait à présent son espace vital. Requinqué à cette vision, il se tourna vers le serveur et lui fit un clin d’œil ce qui, il le comprit plus tard, ne fut pas sa meilleure idée de la journée.

    Les aiguilles de l’horloge tournaient bien vite et il se trouva être déjà 19h 47 quand notre héros se sortit de sa rêverie axée sur la sensation de touché un tapis afghan et de regardé un documentaire sur les cétacés en même temps… Pour se rendre compte qu’il n’avait pas une minute à perdre s’il voulait trouver une chambre d’hôtel pour la nuit, il quémanda donc sa note à l’aubergiste pour s’en aller sur le champ ; qu’elle ne fût pas sa surprise quand celui-ci lui lança :

   

« Allons, vous n’allez pas partir si vite nous n’avons même pas eu le temps de faire connaissance ! »

   Impressionné par une telle maîtrise du français dans un tel lieu de perdition, notre héros ne sut que dire et bafouilla que «  s’aurait été avec plaisir… » Mais qu’il s’en devait de ce pas « quérir une chambre d’hôtel au meilleur prix…. ».   Ce à quoi le barman répondit qu’il n’y avait « pas de problème »  du fait que « son cousin était maître d’hôtel au Dordogna », et que ce  lieu s’ouvrait à toutes les bourses du fait des origines modeste de son propriétaire. Devant tant de courtoisie et la perspective d’obtenir une chambre dans un lieu dont la philosophie semblait plus qu’avenante, notre héros fût pris au dépourvu et s’en fût forcé de répondre par la positive… Le tavernier s’empara alors d’un combiné téléphonique caché avec astuce sous le comptoir, puis demanda après un certain Rémy.Il lui exposa les faits puis s’enquit du patronyme de notre héros. Ce à quoi celui ci répondit :

   « Jack Turner. »

    Après moult discussion sur les tenants, aboutissants et bienfaits de la pêche à la ligne en eau douce, Jack, bien peu instruit sur le sujet il faut l’avoué, s’en remit à un bâillement pour faire comprendre à son interlocuteur qu’il était temps pour lui d’aller ce coucher et s’enquit auprès de lui de la direction du fameux « Dordogna». Le barman sembla un peu peiné d’en finir avec cette conversation et ses yeux s’embuèrent de larmes à la perspective du départ de Jack, il lui fit savoir vertement :

«  Moi qui pensais avoir trouver un ami en la personne de vous-même …De m’en voir éconduit de la sorte, mon cœur se sent outragé …J’exige réparation ! »

      

    Se sentant pris au piège par les sanglots de l’homme, Jack fût pris d’un accès de tremblote  aigu et ne sachant que dire,  il s’élança de tout son poids  vers une table de touriste espagnol fraîchement débarqué de Santa-Paz, pour s’affaler au beau milieu de leurs cafés-crème et Perrier citron. L’aubergiste, d’un vif mouvement du bassin synchronisé d’avec les cuisses, s’évada de derrière son zinc pour s’élancer à la poursuite de Jack  qui s’échappait sous les hués des espagnols renversés qui, bien que choqués, n’auraient pas dût se laisser aller à tant de dérapages verbaux et autres billevesées. Ce que Jack ne manqua pas de souligner pour lui-même, retenant le mot cono pour la prochaine fois où il croiserait un Ibère indélicat. Très en confiance au niveau physique depuis quelques mois, il se dit quand même que les 6 whiskies que le barman lui avait offerts, commençaient à peser un petit peu sur son estomac et quand il s’en fût arriver à bonne distance du bar. Il s’arrêta pour reprendre son souffle à l’intersection de la rue des jonquilles et de l’avenue Fernand Lacouture, héros de la résistance. Un frisson d’effroi lui parcouru l’échine quand  il se rendit compte que l’aubergiste, ne prêtant aucune attention à l’accident de terrasse provoqué par Jack  à l’encontre des vacanciers espagnols, s’était littéralement jeter à sa poursuite et qu’il n’était maintenant qu’à une très faible distance de sa position ; au point d’ailleurs , qu’il put apercevoir par l’entremise de  l’éclairage des sémaphores de la rue des jonquilles, le visage de son poursuivant défiguré par un rictus de colère et d’apathie.

      

     Il prit de nouveau les jambes à son cou, mais cette fois ci elle s’emmêlèrent et il s’en retrouva cul par-dessus tête, dans une position bien peu adéquate à l’action de prendre la fuite telle qu’il se l’était figuré auparavant ! Cette maladresse bien malheureuse, Jack la paya sur le champs car son ancien compagnon de babillage l’avait d’ors et déjà rejoint et s’apprêtait à le rosser sans vergogne au moyen d’un objet contendant, qui bien qu’ayant la facture d’un légume inoffensif tel que le concombre, se trouvait en fait n’être qu’une matraque repeinte à la hâte par un artisan peintre n’ayant pas le goût du travail bien fait. Il va sans dire qu’il n’aurait pas déplu à Jack que l’outil de son agresseur fût vraiment un légume, mais la vie est faite de petites désillusions sans lesquelles celle-ci manquerait singulièrement de piquant…

    

    Ainsi donc, Jack se défendait corps et biens contre le bistrotier, tout en tentant d’usé de son savoir-faire diplomatique…Mais son agresseur , armé d’une fureur de viking et d’une colère de Hun ne semblait pas prompt à la réouverture d’un dialogue.

__ Mais enfin vous ne pouvez pas me cogner sous le prétexte fallacieux, que j’aurais refusé …ARG …De poursuivre cette conversation à bâtons rompus avec vous. ARG !

__A rompus, rompus et demi …répondit l’homme dont le bras droit semblait mu par une énergie démoniaque.

    

   C’est alors qu’une chose bien étrange se passa…Un labrador, qui observait la scène avec beaucoup d’attention depuis une paire de minutes se mit soudain à aboyer en direction des 2 pugilistes sans prendre faits et cause pour aucun d’entre eux. Ce court intermède d’expression canine permit à jack de se défaire de l’emprise du bistrotier pugiliste et de reprendre sa course à travers la ville ; son opposant esquissa une amorce de démarrage tonitruant, mais une providentielle crotte de chien , sur laquelle celui ci dérapa permit à Jack de le semer .

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24 avril 2007

Satine

                                                Satine

       S’alanguir dans le sable satin de nos marées formées

                     Avoir l’avril facile, le renouveau à fleur de peau

    Je voudrais que tu sois ma nouvelle première fois,

                          L’incendie long d’un œil brûlant d’amour

          L’archipel de nos rencontres déroulées en tapis de pétales

                         Lourd nuage sulfaté au creux d’ton cou tombe en discorde,

                               En limbes il tourne encore…

                 Tes yeux aux flammes effrénées

                        Tes courbes …Ton plan de bataille

                              Ta sereine ligne d’alunissage

                                  Et la lèvre close, colère rentrée

                               Bleu comme des roses pas inventées

                        Tes dunes légères sans traces de pas

        Mais dit moi qui est allé nourrir ton sein du diamant noir de l’obsidienne

23 avril 2007

Velouté au champignon qui fuit !

J'avais mal aux cheveux , je savais les nains avide de sensations fortes et de sang qui tache mon bel ensemble en lin ,j'allais devoir appeler la garde ...

Mais v'l t'y pas que la garde m'harrassa soudain sous le poids de la trop forte fiscalité qui pesait sur elle ...

C''est à dire que j'étais seul désemparé ,voyez zin peu le tableau ,non ?

Donc j'appella Darty sans trop forçé sur les consonnnes ,pour ne peut pas outrager les standardistes ,mais le réparateur accrédité pour me répondre me dit que

"Je faisais fausse route ,que Darty ne résolvaient pas les querelles d'éthiques entre le personnel culturel des jardins privatif d'une part et les robot boule dogue modèle Xb 666 d'autre part ...."

,Je m'empressa alors d'empoigné avec la plus grande vigueur mon manuel d'insulte en braille ,mais v'la t'y pas que le syndicat des gnous du bas-limousin me somment de me rendre à l'évidence ,que j'ai dépassé les limites en termes de séribéisme de série ,"réinventons le mouvement ,le message et tout le reste !"

"Hou la! que je dis ,d'abord mettez vos pantoufles ,avant de rentrer chez !moi à l'improviste et tout de tourbes savannique couvert d'étoupe ,en somme ,et ce dans mon Salon ,j'exige des explications sur cette conduite intolérable ,  messieurs ?"

Sous le couvert d'agiles hochements de tête de droite à gauche ,il éludèrent mes imprécations et fuyèrent par une porte dérobée ,arrivé là par le plus grand des hasards ,on ne sût comment d'ailleurs.

Je ne répondit donc rien au réparateur qui de toute évidence avait raccroché ,mais peut être ce hululument monocorde à silence court répété était un nouveau mode de langage usité en ses terres ,je raccrochai tout de même bien que doutant du bien fondé d'un tel déploiement de disonance aorto-servical à l'endroit de mon oreille qui m'était propre ...

Les nains eux attendaient moroses que les résultat du PMU soient enfins divulgés à leurs yeux mouillés devant le spectacle des Jockeyttes qui ondoient et des baguettes qui tournoient ; car ces petites ordures ,avait profité de l'intermède gnounique pour ce glisser dans le living-room (et oui ,c'est ça la classe ,un salon et un living ,et ouais!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!)

Mais bon je n'avais pas dit mon dernier mot !

17 avril 2007

Un révolution qui ne dit pas son nom...

Un oeuf de paque dans le jardin ,vous me direz y'a pire comme découverte matinale ,mais là c'est vraiment trop trop trop !

Car cet oeuf , calibré à mon sens par le croupion d'un émeu obèse , est apparu au beau milieu de mon massif de fuschias ,et ce à l'insu de mes nains de jardins ,occupé à se palucher devant des photos de la reine mère en tenue de bain ...Quel ne fût pas mon désarroi à cette vision d'horreur ,j'essayai pourtant de vaincre en moi les vélléités de haine et de vengeance pour garder tête froide et sens commun ,mais rien n'y fit !! Je m'approchai de Dudulle ,mon nain de jardin en chef et lui posait sans plus attendre la question subsidiare ,celle qui hante la psyché mondaine depuis l'apparition dans les pages de Elle de publicité mettant en scène des crèmes de peau  et des femmes de + de cinquantes ans sans problèmes dermiques :

"Cher Dudulle :

petit 1 , Que fait cet oeuf là ,et votre contrat de gardiennage ,dois je en faire de la charpie ?

petit 2 ,ces photos de la reine mère ,qui vous les a procuré ?

petit 3 ,les nains ont ils une âme ou un hameau ?

Cette dernière saillie fit frémir dudulle ,qui savait son secret en passe de n'être plus qu'un bout de la bande passante il répondit pourtant avec aplomb et candeur ,même si à n'en pas douter ,mon interrogatoire l'avait on ne peut plus agacer ....

__Yo ,L'émeu nous à pris par surprise , il nous a fourni des papiers en règle quant à l'observation du Fuschia ,seulement à un moment il nous a berné par le truchement d'un mouvement de tête des plus désinvolte !

__Et vous croyez que ça suffira Mr Dulle ?

__Ecoutez ,cet oeuf ,une fois décoré de bandes Lilas et ocre ,accompagnera parfaitement le bosquet dans sa croissance infinidécimale et ...

__Cela suffit ,monsieur Dulle !!

__Mais...

__Passe encore que l'émeu vous ait berné ,mais franchement ,j'aurais pensé que vos diplomes de paysagiste agronome vous eutes permis de trouvé une autre parade que l'addition de bandes lilas et ocre (mondieu !) à cet oeuf pour le rendre conforme à l'esthétique de ce bosquet !

__Je...D'abord ,cessez de syntaxé n'importe comment vos imprécations ,après on en recausera ,boss !

__C'est une révolte alors ?

__Non sire ,c'est une révolution !

A ces mots je m'enfuya alors tel le faon de l'Onyx à l'approche de la hyène craignant pour ma sureté plus que pour tout autre chose ,heureusement Matin Bonheur avait à peine commencé et le sourire des plus francs ,prodigué par la nonchalante Sophie Davant me remit très vite sur pieds ,et pour fêté l'évènement quoi de mieux qu'un coktail Vodka citron !

Cependant dérrière le buisson d'acacias ,je percevais des murmures qui en disaient plus que long sur l'inextracabilité de la situation dans laquelle mon interrogatoire des plus légitime m'avait conduit...

29 mars 2007

Les aventures de Bein Zerko

J'ai réalisé une bande dessinée à partir de screenshoots du jeu Kotor 2 ,du genre pastiche ,si ça vous intéresse /http://unitedshades.vjfrance.com/

20 mars 2007

PRODUCT IT BOLD

Product it bold

Luxury pants , envy crawls

Like ants from the bone to the neck , leave a soft cell behind

Sealed by the thick sick eye Of neochrome new view

On the true blue part of soul

Redefine the wider part the void

The real sun belt

Soundless windstroke

Bottom greed

Incomin' ak's result

Paid off tale enter the real art enigma

Manic euphoria

Crude tide plasma

Insecure orbit of a desincarnated planet

The sure long rope of silk banished

By the steel infancy

Purple scarlett

The valet, the gold goat

The matter market

The burden of debt of burnin' doubt

The root of man , the extra-vision

The insane reign

Of proto vision

The flam , the butcher's tragedy

                                 Unserene melody that still lyes beneath the pore

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